Il recula d’un pas tandis que Mikaru en faisait deux. Ils continuèrent ce manége encore quelques pas jusqu’à ce que bien sur la salle touche à sa fin et que Kai se retrouve coincé contre le mur. Kai eu un regard effrayé tandis que Mikaru éclatai d’un rire sadique.
Kai- Euh… N.Non Monsieur Mi.Mikaru, je ne pense pas que ce soit une bonne i.idée…
Mikaru s’arrêta, le toisa de haut en bas, puis recommença à s’approcher. Kai se sentait vraiment comme une proie et voyait Mikaru comme un fauve, un grand lion… Il tressailli lorsque il cru le voir se lécher les lèvres d’avances.
Mikaru n’était plus qu’a quelque pas de notre pauvre Kai quand un cri les interrompit :
Mikaru franchi le seul pas qui le séparé encore de sa proie et le pris dans ses bras. Kai était extrêmement tendu. Mikaru chuchota en soufflant dans son cou :
Mikaru- Détend toi voyons…
Et étrangement ce fut le membre de Kai qui se tandis, alors qu’il était parcouru d’un frisson dut au souffle de Mikaru dans son cou. Mikaru eu un sourire satisfait.
Mikaru- Et bien dis donc… laisse moi deviner… tu n’as jamais coucher avec personne, même pas des prostitués…
Kai- *lève un regard suppliant vers Mikaru qui a passé ses mains dans son T-shirt et lui caresse le dos* N..Non… je… il faut attendre le mariage…* gémi alors que la bouche brûlante de Mikaru vient effleurer son cou*
Mikaru- *dans sa tête* Il est vraiment trop innocent et naïf…*grand sourire carnassier jusqu’aux oreilles qui fait naître une lueur apeuré dans les yeux de Kai* Ca… ça m’excite encore plus !!!
Il tourna et enlaça Kai par derrière et lui colla sa bouche dans le cou. Kai avait l’impression qu’il voulait lui sucer tout son sang. Il sursauta quand Mikaru ne put résister et le mordilla. Mikaru avait pendant ce temps fait glisser une main vers son pantalon et le déboutonna expertement en le faisant glisser à terre. Il passa sa main dans son caleçon, glissant ses doigts fin sur le membre dressé de sa victime. Kai essaya de le repousser sans grande conviction, de toute façon il était au moins deux ou trois fois plus fort que lui…
Mikaru- Et je suppose que tu ne t’es jamais masturbé…
Kai- *air indigné* Bien sur que non !!! C’est strictement défendu.
Mikaru- Tant mieux, je vais prendre encore plus de plaisir à me dire que je suis le premier à y toucher…
Et il empoigna brutalement l’intimité de son compagnon qui poussa un petit cri de surprise. Mikaru commença à faire des vas et viens doucement avec sa main. Kai se débattit mais Mikaru emprisonna ses épaules avec son autre bras. Il accéléra le mouvement. Kai ne savait plus que faire, entraîné par une vague de plaisir qui lui était jusqu'à présent inconnu. Il transpirait à grosses gouttes et gémissait sans s’en rendre compte. S’il n’avait pas jeté sa tête en arrière et fermé les yeux il aurait pu voir le sourire satisfait et pervers encré sur le visage de son nouveau maître. Celui-ci accentua encore son geste, impatient de sentir la liqueur blanchâtre du plus jeune se déverser et dégouliner sur ses doigts. Sa ne tarda pas, et Kai se lâcha en poussant un grand râle. Mikaru eu un petit rire satisfait et retira doucement sa main. Il lâcha Kai qui tomba à genoux, ses jambes ne le portant plus. Il posa son dos contre le mur et appuya sa tête sur la jambe de Mikaru qui avait pendant ce temps monté sa main à sa bouche et léchait sensuellement ses doigts. Kai qui avait levé la tête le regardait, les yeux écarquillés, la sueur collant ses mèches sur son front, haletant la bouche à demis ouverte. Mikaru lança sa tête en arrière et entonna un rire puissant de vainqueur, presque cruel. Oh oui, il aimait se sentir puissant comme ça quand ses victimes se lâchaient sur lui, sous ses caresses, lui prouvant ainsi qu’il était entièrement maître de la situation. Il baissa les yeux vers Kai, celui-ci c’était recroquevillé sur lui-même dés les premiers retentissements de se rire, la peur luisant dans ses yeux humide, haletant toujours. Mikaru eu tout de même un regard attendri qui le rassura à moitié. Il s’accroupit à coté de lui et prit délicatement son menton entre deux doigts et l’embrassa. Il le pris ensuite dans ses bras et le porta jusqu’au canapé de velours qui se trouvait dans la pièce.
Les cris de Kai se mêlèrent donc à ceux de Uruha cette nuit là…
Mais Mikaru n’en avait pas fini, alors que Kai avait fermé les yeux, son corps nu sur le divan, il lui demanda :
Mikaru - Fais-moi une fellation !!!
Kai - Qu-Quoi !?!?!
Mikaru - *hausse un peu le ton* Fais-moi une fellation !!!
Kai - M..Mais
Mikaru - *se lève menaçant* Comment ça « mais » !?! C’est un ordre que tu le veuille ou non !!!!!
Kai- *terrifié* Ce n’est pas que je ne veux pas… *baisse le regard* je ne sais même pas ce que c’est…
Mikaru poussa un soupir résigné mais n’arriva pas à cacher son amusement trahi par un sourire en coin. Il se rassit sur le canapé.
Mikaru- … et bien tant pis, je vais te montrer.
Je passe les détails de tous ce qu’a subit Kai mais il entendit néanmoins Mikaru gémir pour la première fois…
Kai exténué s’était endormi sur le torse du maître qui, quand à lui fixait le plafond. Il le poussa finalement doucement. Kai leva des yeux endormis vers Mikaru.
Mikaru- … tu devrais peut être rentrer chez toi, il va bientôt faire jour, tout les autres sont partis…
Kai- *se redresse vivement* Oh mon Dieu !!!! Déjà !!! Mes parents m’attendent !!
Mikaru- *amusé* Tu vis encore chez tes parents !?!?
Kai- Ben oui… j’ai dix sept ans… *regard effaré de Mikaru* … mais je vais sûrement bientôt partir, pour l’instant j’aide mon père au champs mais quand je pourrai faire des études je partirais !
Mikaru- *choqué* dix..dix sept ans !!!
Kai s’était levé et cherchait désespérément son caleçon parmi tous les vêtements éparpillés dans la pièce. Il rassembla finalement ses habits, les enfila à la vas vite et se précipita vers la porte. Il s’arrêta devant et se retourna vers Mikaru qui l’observait du canapé.
Mikaru- … n’attend rien de moi, ne vas surtout pas croire que nous sommes ensemble… tu peux appelé cette nuit « L’Initiation »… Mais si tu as besoin d’un conseil, n’hésite pas à m’en parler… Ah oui et on se réuni tous les mercredi et samedi soir, je compte sur ta présence !