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Problème avec les liens contenant un espace (Résolu)
 par   - 450 lectures  - Aucun commentaire

Bonsoir.

Un nouveau problème est apparu dernièrement : il était devenu impossible d'accéder aux pages dont le lien contient un espace.
J'en ai trouvé la raison dans une obscure discussion sur un forum perdu dans le net.
Il se trouve que la dernière mise à jour dud serveur (le logiciel, pas la machine) a intégré un changement au niveau de la sécurité (???).
Il faut maintenant ajouter un drapeau supplémentaire pour que ces liens ne soient plus rejetés.

Ça m'a pris du temps et pas mal de redémarrages (désolé pour ça) avant de trouver et de modifier les fichiers de confoguration des sites.

En principe j'ai tout modifié, mais n'hésitez pas à m'envoyer un message privé si vous en trouvez d'autres.

Merci.

 


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Avatar: The Last Airbender

La rose noire
[Histoire Terminée]
Auteur: Atizumai Vue: 4629
[Publiée le: 2011-02-17]    [Mise à Jour: 2011-03-12]
13+  Signaler Romance/Drame Commentaires : 23
Description:
Après que Aang eut vaincu Ozaï, Zuko est devenu le nouveau Seigneur du Feu et, poussé par son oncle, Iroh, doit trouver une femme pour le soutenir dans sa tâche. Il pense tout de suite à Mai, avec qui il est déjà en couple. Il ne craint pas beaucoup le refus de sa partenaire. Bon, d'accord, il a un peu(beaucoup)la trouille que Mai lui dise non. La jeune fille est pourtant très amoureuse de Zuko depuis sa plus tendre enfance. Mais son père et un beau et mystérieux jeune homme s'interposent. Ils refusent que l'union est lieu. Mai n'est pas encore majeure, elle doit obéir à son père.

Crédits:
Les personnages appartiennent tous à tous ceux qui ont pris la peine de créer Avatar, le dernier Maître de l'Air sauf Lon et Sael qui débarquent tout droit de mon imagination !
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Chapitre 1: demande

[1559 mots]
Publié le: 2011-02-17Format imprimable  
Taille du Texte: (+) : (-)
Commentaire de l'auteur Ceci est ma première fic et en tant que débutante, je vous demande de me faire pleins de commentaires, surtout des critiques, comme ça je pourrais m'améliorer, merci d’avance ! J'espère qu'elle n'est pas trop mal construite ! Bonne lecture !

Zuko était nerveux. Il avait ordonné à Lon, l’un de ses serviteurs, d’aller chercher Mai. Il comptait lui faire sa demande dans le petit jardin privé que Zuko avait agrandit et enrichit de nombreuses autres fleurs. Il tripotait nerveusement un pan de sa cape, attendant que Mai se présente à lui.

Il avait tellement envie de lui faire comprendre à quel point il aimait plonger son regard dans ses beaux yeux argentés en amandes, qu’il aimait caresser ses magnifiques cheveux de jais soyeux, qu’il aimait toucher sa douce peau pâle, qu’il aimait la faire rire et sourire, qu’il aimait la voir heureuse et épanouie, qu’il aimait leur moment à eux, seuls, dans l’union de leurs deux corps.

Soudain, il entendit des pas précipités qui se dirigeait vers lui. Lon revenait, l’air désolé.

-         Que se passe t-il, Lon ? demanda Zuko, intrigué.

-         Monseigneur, je ne trouve pas la jeune demoiselle, elle est introuvable ! Veuillez m’excusez pour mon indigne incompétence, déclara Lon en s’inclinant.

-         Laissez, allez plutôt vous reposez.

Zuko ne put se retenir plus longtemps, il pouffa. Lon leva les yeux, se demandant quelle sottise avait-il commis.

-         Hum, aurais-je été inconvenant, Seigneur ?

-         Non, non Lon, vous êtes parfait. C’est juste que… « jeune demoiselle » ! Ha haha !

-         Le terme est-il trop poussé ?

-         Absolument pas ! La prochaine fois que vous la verrez, appelez-là de cette façon, elle va adorer !

Lon fronça les sourcils mais inclina la tête et tourna les talons.

Finalement inquiet, Zuko se leva à son tour et partit dans le Palais, longeant les couloirs dans l’espoir d’apercevoir Mai. Mais celle-ci restait introuvable. Il avait vérifié les jardins privés, le salon, la grande cuisine, la salle d’arme et même les toilettes. Bien évidemment il n’était pas rentrer dedans mais il s’était assuré que personne ne les occupait…

Soudain, il eut une idée. Et si elle était restée dans la chambre royale où tout deux avaient dormis. Bon, il n’avait pas fait que dormir, certes, mais bon…

Il poussa la porte. Le lit était furieusement défait, comme si un tas d’animaux enragés avaient sautés dessus. « Des gamins ? » aurait alors proposé Mai. Ce qui le fit sourire. Néanmoins, il ne se souvenait pas d’avoir autant remuer pendant son sommeil. Remarque ce n’était peut-être pas la partie sommeil…

Malheureusement, la pièce était vide. Il soupira, désespéré, quand il entendit du bruit derrière la porte rattachée à sa chambre. Trop pressé, il ouvrit la porte sans réfléchir à ce qu’était cette fameuse pièce…

Mai s’était immobilisée, entièrement nue, assise sur le rebord de l’immense baignoire, la pointe d’un de ses pieds dans l’eau qui faisait des volutes de vapeur. Elle se détendit lorsqu’elle le reconnut. Celui-ci n’avait pas bougé, la bouche entre-ouverte, son regard ne s’étant pas détaché du corps de sa compagne. Mai eut un rictus.

-         Si tu voulais te rincer l’œil, il fallait me le dire au lieu de me faire peur, on aurait arrangé ça.

-         Non, non ! Ce n’était pas mon attention, Mai ! s’exclama t-il, légèrement rougissant.

-         Alors arrête de me fixer de la sorte, on croirait que tu ne m’a jamais vue.

-         Hum, pas totalement. Tu bouges beaucoup la nuit. Tu es très, hum, active, la rembarra t-il en appuyant sur le mot active, avec un petit sourire.

Bien qu’étant inexpressive, il semblait qu’avec lui la plupart de ses moyens pour rester impassible restait un échec. Ses joues se teintèrent donc d’une délicate teinte rosée. Il adorait la voir ainsi. Il s’approcha et l’enlaça. Elle déposa un baiser dont elle avait le secret sur ses lèvres. Timide, doux et léger comme un battement d’aile de papillon. Il aimait gouter ses lèvres légèrement  ourlées et son odeur discrète et sucrée.

-         Tu voulais me demander quelque chose ? l’interrogea t-elle.

-         Hum, non rien, pourquoi ?

-         C’est bien ce que je pensais. Tu es venu te rincer l’œil, avoue !

Il rougit de plus belle ne secouant la tête.

-         Pitié, Mai. Je t’ai déjà vu nue.

-         Et bien. Que fais-tu ici, alors ? demanda la jeune fille, légèrement boudeuse.

Le Seigneur du Feu sourit. Elle était contrariée de ne pas être le centre de son attention.

Zuko avait renoncé à lui demander. En tout cas, pas dans cette situation. Il fallait trouver une explication. Heureusement pour lui, une idée lui vint.

-         Je venais récupérer mes affaires quand j’ai entendu l’eau couler. Je t’avais pourtant dit de ne pas utiliser cette salle de bains là. Tu n’es pas encore Fire Lady que je sache. D’ailleurs, c’est plutôt à toi de me dire ce que tu fais ici.

-         Et bien, figure-toi que je n’allais tout de même pas prendre mon bain parmi tes serviteurs, Zuko.

-         Mai, tu sais pertinemment qu’il y a une douche pour les invités de haut rang. Alors ?

-         Oui ?

-         Avec moi, ça ne prend pas, alors inutile de te chercher des excuses houleuses.

-         Bon et bien, j’étais venu me laver, non ?

Il la regarda droit  dans les yeux. Elle l’observa, une expression de fausse naïveté sur son visage. Zuko savait qu’il devait chercher une preuve pour faire avouer la vraie raison de sa présence. Il promena donc son regard sur la pièce. Tout avait l’air normal. A l’exception faite que l’eau de la baignoire était anormalement rose et que tout autour, il y avait des bougies qui tremblotaient. Mai avait semblé attendre quelqu’un, assise de la sorte sur la baignoire. Ce fut à son tour de sourire avec un petit air rusé.

-         Il semblerait que tu deviennes romantique, aurais-tu de la fièvre ?

-         N’importe quoi, moi romantique ? Ne rêve pas ! s’exclama Mai.

-         Et bien, du moins, tu sembles attendre quelqu’un.

-         Et il semblerait que l’invité soit arrivé, chuchota t-elle à son oreille.

Elle voulut le prendre par la main mais il resta planté là. Il n’en avait pas fini avec elle.

-         Ce qu’on appelle être romantique, Mai, fit-il. Ou joueuse, rajouta t-il, augmentant l’embarras de Mai.

-         Et bien, je l’ignorais, répondit la jeune fille, innocente.

Il sourit, amusé, tandis qu’elle commençait à lui ôter ses habits.

-         Mai, tu mens très mal.

-         Je sais, murmura t-elle avant de l’embrasser dans le cou.

 

Zuko déjeunait, pensif, quand il entendit la porte de sa chambre s’ouvrir suivi d’un bâillement sonore. Mai était réveillée.

-         Tu as b… ! s’interrompit Zuko quand il se tourna vers Mai.

-         Quoi ?! fit-elle, maussade.

Il désigna sa tête. Ses cheveux étaient incroyablement ébouriffés et l’on avait l’impression qu’elle n’avait pas dormit de la nuit.

-         Mai... ta tête ! pouffa t-il.

-         Arrête de te moquer de moi, tu veux ! Je serais toi, je me tairais.

-         Moi, je n’ai pas cette tête là, fit-il remarquer en la pointant du doigt.

-         Il serait temps que tu fasses un régime, sourit-elle.

Zuko rougit.

-         Quoi ?

-         Tu étais tellement fatigué à la fin de notre… « séance de sport » que tu t’es endormit sur moi, gros bêta. Encore heureuse, tu ne ronfle pas. En tout cas, pas assez fort.

-         M... Mai !

Elle sourit de plus belle et s’assit à ses côtés. Elle l’embrassa sur la joue et prit la brosse qui était posé à côté de la table, qu’elle avait laissée hier. Elle se coiffa minutieusement et se tourna vers Zuko.

-         Alors ?

-         Pas changé, marmonna t-il entre deux bouchées.

Elle sembla dépitée.

-         Je suis toujours aussi décoiffé ?

-         De quoi ? Non, non ! Je disais que ça n’a pas changé. Coiffé ou non, tu es toujours aussi belle.

-         Ah, oui. Et bien... merci.

Après un instant de réflexion et d’examination, elle fini par conclure :

-     Toi aussi, tu n’es pas mal dans ton genre.

Il sourit. « Pas mal dans ton genre ». C’était tout Mai, ça ! Elle n’aimait pas avouer ce qu’elle ressentait.

-         Mai ?

-         Oui ?

-         Je voulais te demander…

-         Et bien, va-y, tu sais que je déteste attendre.

-         Voudrais-tu…

Il s’interrompit. Ce n’était pas le moment idéal.

-         Non, rien.

Elle haussa les sourcils mais ne souleva aucune objection. Une autre qualité de Mai.

Pourquoi se trouvait-il toujours des excuses ???

Il fallait bien, un jour ou l’autre, qu’il lui demande.

 

Quand Zuko arriva, Mai faisait ses gammes. Quand elle sentit sa présence, elle se mit à jouer la Lettre à Elise à la perfection, histoire de crâner un peu. Zuko sourit. Elle n’en manquait pas une pour l’impressionner mais ce qu’elle ne savait pas c’est qu’elle avait déjà fait ses preuves. Zuko s’approcha et, sournoisement, l’embrassa dans la nuque. Il y eut un grand concert de cacophonie. Mai avait brutalement appuyée ses mains sur les touches noires et blanches, complètement déconcentrée par la brusque présence d’une main câline sur sa cuisse…

 

Zuko s’assit sur leur banc préféré, tenant Mai par la taille. Ils s’embrassèrent langoureusement. Il s’écarta doucement. C’était le moment ou jamais. Il mit un genou à terre et sortit une bague scintillante.

-   Mai, veux-tu m’épouser ?

Certes, c’était un peu traditionnel et formel…  Mai semblait choquée. Zuko commença à s’inquiéter de son silence.

-         M… moi ? demanda t-elle, émue.

Il ne l’avait jamais vu aussi touchée. Il acquiesça, un sourire aux lèvres. Les yeux brillants, elle s’écria « ouiii ! ».

 

-         Monseigneur ? le quémanda Lon, alors que Mai admirait sa bague.

-         Oui ?

-         Suivez-moi, je vous prie.

-         Bien.

Il arriva à la salle d’audience. Le père de Mai le regardait avec sévérité.

-         Que puis-je pour… commença Zuko.

-         Je refuse que ma fille s’unisse à vous.

 

 

 

Commentaire de l'auteur Merci d'avoir lu(e) ma fic, j'espère qu'elle n'était pas trop décevante. En tout cas, je vous demande pleins de commentaires, surtout des critiques, comme ça au prochain chapitre je corrigerais mes tares et ferais de mon mieux pour améliorer l'histoire !(je sais, j'y tiens à mes commentaires !) En tout cas merci d'avoir pris la peine de lire ce chapitre et pour les rares à qui cela aurait plût, le deuxième; confession, est en route !
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